1848, premier livre d’anesthésie en France, Sédillot, éther, chloroforme, appareils de Elser
Il fut synthétisé pour la première fois en 1540 par Valerius Cordus qui l’appelle l’« huile douce de vitriol » car il le fabriquait par distillation d’un mélange de vitriol (acide sulfurique) et d’« esprit de vin » (alcool éthylique). C’est pour cela qu’on l’a appelé éther sulfurique pour éviter la confusion avec les autres éthers. Peu de temps après, Theophrastus Bombastus von Hohenheim, plus connu sous le nom de Paracelse découvre ses propriétés analgésiques.
Frédéric Cuvier[1] attribue la première introduction à l’année 1730, par un chimiste allemand utilisant le pseudonyme de Frobenius.
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1848, premier livre d’anesthésie en France, Sédillot, éther, chloroforme, appareils de Elser
Dans les années 1790 - l’éther (1once ou 2) est utilisé pour des divertissements. Ainsi, James Graham (1745-1794) fait des démonstrations publiques d’inhalation d’éther plusieurs fois par jour - montrant placidité et plaisir. Il utilise aussi l’électrothérapie.
Publication posthume du livre de John Snow (1813-1858) « On chloroform and other anesthetics ».
JFB Flagg (1802-1872) publie le premier manuel américain d’anesthésie
L’apothicaire ambulant Valerius Cordus (1515-1544) - en Allemagne - décrit dans sa pharmacopée - la préparation exacte du vitriol doux ou diéthyléther.
Histoire de l’anesthésie en français 1939