George Martin (1702-1743), médecin de marine écossais, propose une double canule pour en faciliter la désobstruction.
George Martin (1702-1743), médecin de marine écossais, propose une double canule pour en faciliter la désobstruction.
André Vésale (1514-1564) décrit l’insufflation trachéale sur un porc - le Roseau de Vésale. Il conseille « d’ouvrir la trachée - d’y mettre un roseau - de souffler dedans et de fournir ainsi à l’animal l’air qui lui est nécessaire pour vivre ».
Realdo Colombo (1516-1559) cite la technique de trachéotomie de Vésale et détaille la méthode pour réaliser celle-ci.
Les égyptiens utilisaient des roseaux insérés dans la trachée à travers la peau pour aider à la ventilation.
Lorenz Heister (1683-1758) rejette le terme bronchotomie pour impose celui de trachéotomie. Il faudra quelques années pour que cela soit accepté. De méme il crée un ouvre-bouche qui a été utilisé pendant près de 150 ans
Jean Louis Bauchot (1721-1768), ancien chirurgien major de la marine et de l’hôpital du Port Liberté, perfectionne la trachéotomie par voie percutanée en utilisant une lame tranchante (munie d’une canule) sur un manche.
Asclépiade de Bithynie (-124 -40) recommande la trachéotomie comme ultime remède à l’asphyxie
Nicolas Habicot (1550-1624) publie : Question chirurgicale - par laquelle est démontré que le chirurgien doit assurément pratiquer l’opération de la bronchotomie - vulgairement dite laryngotomie ou perforation de la flute ou tuyau du poumon
Albucasis (vers 936 - vers 1013) décrit la cicatrisation d’une plaie trachéale qu’une femme s’était infligée dans un accès de folie.